Après la fermeture des frontières à cause de la pandémie du coronavirus, les passionnés de voyage et de découverte peuvent plonger au cœur du tourisme virtuel. En quelques clics, vous pouvez observer la majestueuse chute du Niagara ou encore faire une aventure en plein safari africain tout en restant chez vous.

Une manière de partir à la rencontre de nouveaux horizons au XXIe siècle

Cela fait plus d’un an que le monde est plongé dans un chaos dans lequel nous ne saurions pas quand prendra fin. Avec les effets dévastateurs du Covid, presque tous les pays du monde ont fermé leurs frontières, freinant ainsi les voyages et le tourisme. Face aux effets de cette décision sur le secteur du tourisme, certaines agences de voyages ont proposé le tourisme virtuel : un voyage au cœur de la nature que vous pouvez entreprendre chez vous, loin de toute interaction avec le monde extérieur.

Les défis du tourisme virtuel

Le défi qui se dresse face aux organisateurs de voyage virtuel est de pouvoir proposer une expérience la plus naturelle possible. En France, Club Med en est l’un des précurseurs qui ont déjà commencé à offrir des vidéos en VR, bien avant le confinement, pour ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas voyager. Et comme lui, Zoom a organisé de nombreux voyages, comme la session autour de l’Égypte. Le temps d’une heure, les participants vont plonger au cœur du Nil et de son exotisme.

La VR remplacera-t-elle à jamais le voyage ?

Le tourisme virtuel promet aux usagers, munis d’un casque VR, de voyager comme s’ils y étaient en quelques clics. Quelques euros suffisent alors pour être transporté jusqu’au bout du monde avec une expérience immersive, aussi proche de la réalité. Mais le marché du tourisme virtuel est-il assez fort pour perdurer dans le temps et pour être accessible à tous ? Selon l’analyste Erik Champion, il pourrait prendre un sérieux pas vers une nouvelle ère avec un contenu aussi quantitatif que qualitatif, mais également avec des infrastructures standardisées.