Le travail en cuisine est un travail à part entière qui nécessite plus que le simple talent. En effet, derrière la connaissance des ingrédients et de leurs saveurs, la maitrise du couteau et a gestion du temps, la tenue s’avère être un point hyper important qui peut faire la différence entre le cuisinier amateur et le grand chef. Découvrez les dessous d’un métier passionnant.

 

 

Un véritable uniforme alliant confort et sécurité

La tenue professionnelle d’un cuisinier se compose de cinq éléments permettant de respecter les règles d’hygiène et de sécurité. Il s’agit de vêtements pratiques et intemporels que l’on peut se procurer auprès de spécialistes du secteur, à l’image de Monsieur Veste (www.monsieur-veste.fr).
Si la coiffe peut être en papier ou en tissu, elle doit envelopper toute la chevelure pour éviter que des cheveux ne tombent dans les plats. La veste à col droit et le tablier doivent être en coton. Le blanc est la couleur la plus répandue, du fait de la tradition mais la veste peut également être colorée, question de préférence. Par contre, la matière est relativement immuable : le coton est une matière qui prend difficilement feu, qui peut être lavé à 90° et javellisé. Pratique et plutôt sécurisant quand on travaille à quelques centimètres de flammes.

D’autre part, le blanc permet de mieux surveiller les salissures. Le nœud du cordon du tablier doit être fermé devant de façon à pouvoir l’ôter rapidement en cas de brûlure. Le tour de cou de la veste est une protection contre l’usure qui absorbe également la sueur.

Des vêtements conçus pour le respect de l’hygiène et de la sécurité

Le pantalon, traditionnellement en coton pied de poule bleu et blanc ne doit pas comporter de revers pour éviter que des déchets y tombent. Les chaussures de cuisine, noires ou blanches, doivent être fermées, avoir le bout coqué, pour protéger le pied en cas de chute d’un objet lourd ou tranchant, et être antidérapantes pour prévenir les chutes.

Les barbus (puisque c’est la tendance actuellement) pourront compléter leur tenue avec un filet à barbe et lorsqu’un cuisinier a une plaie au doigt, il travaillera avec un doigtier. Et dans le cas où notre chef se révélerait enrhumé, il peut tout de même travailler en portant un masque bucco-nasal qui lui permettra de partager sa passion sans partager ses microbes.